La longue route des élections
Dimanche le 23 mai, le premier ministre du Canada a déclenché les élections générales fédérale. Les citoyens seront donc appelés aux urnes le 28 juin prochain pour choisir le nouveau gouvernement fédéral. Selon les plus récents sondages, le prochain gouvernement pourrait être minoritaire. Très intéressant. Ça voudrait donc dire que les électeurs auront choisi de ne pas réitérer leur confiance en ce gouvernement libéral que nous avons depuis maintenant plus de douze ans.
Quant à moi, le plus important, c'est de voir les intérêts du Québec non seulement défendus, mais de voir à ce que la promotion de l'indépendance devienne un enjeu majeur de la campagne électorale. Je suis souverainiste, indépendantiste, séparatiste. Je n'ai pas peur de défendre mes valeurs, mes positions dans ce domaine et j'entends le faire avec toute la fougue et la vigueur qui me définisse. «Vive le Québec libre» avait dit de Gaulle lors de sa tournée au Québec dans les années 60. J'espère simplement avoir la chance de vivre un tel moment avant longtemps.
On sent que le vent tourne d'ailleurs. On sent un vent de contestation et de fatigue à l'endroit du gouvernement actuel, autant au niveau provincial que fédéral. C'est très bien ainsi. Ça ne fait qu'appuyer les prétentions du Québec dans son choix et dans la recherche de cette reconnaissance tant attendu.
Quant à moi, le plus important, c'est de voir les intérêts du Québec non seulement défendus, mais de voir à ce que la promotion de l'indépendance devienne un enjeu majeur de la campagne électorale. Je suis souverainiste, indépendantiste, séparatiste. Je n'ai pas peur de défendre mes valeurs, mes positions dans ce domaine et j'entends le faire avec toute la fougue et la vigueur qui me définisse. «Vive le Québec libre» avait dit de Gaulle lors de sa tournée au Québec dans les années 60. J'espère simplement avoir la chance de vivre un tel moment avant longtemps.
On sent que le vent tourne d'ailleurs. On sent un vent de contestation et de fatigue à l'endroit du gouvernement actuel, autant au niveau provincial que fédéral. C'est très bien ainsi. Ça ne fait qu'appuyer les prétentions du Québec dans son choix et dans la recherche de cette reconnaissance tant attendu.