Gaming

Je cherche encore un terme français pour exprimer une de mes passions. Faute d'en avoir trouvé un, je me contente de l'appeler «gaming». Je sais, jeux, joueur, activité ludique, etc, ce sont tous des mots que je connais mais qui ne rendent pas justice à l'esprit du mot «gaming».

J'y ai repensé hier parce que, comme je le disais, ça fait un bon bout de temps que je n'ai pas eu la chance de tirer une petite partie avec des amis. Malheureusement, si il y a une chose qui m'ennuie de mon petit coin de pays, c'est bien le manque flagrant de partenaire de gaming.

Ce qui ne m'empêche pas de continuer de m'y intéresser par le biais de nombreux sites consacrés entièrement à cette passion. Je pense entre autre à l'excellent BoardGameGeek ou encore à Bruno Faidutti et à sa ludothèque idéale.

Grâce à ces quelques sites, il m'est possible de rester au courant de ce qui se passe dans le merveilleux monde des jeux de plateaux malgré la distance qui me sépare du reste de l'univers. J'ai ainsi pu découvrir un nombre incroyable de jeux tous plus intéressant les uns que les autres. Dernièrement, c'est le jeu Les aventuriers du rail qui m'a le plus attiré. Édité par Days of Wonder, le jeu possède une facture exceptionnelle et il semble aussi être facile d'y jouer avec des non-initiés. Et en plus, il a une excellente presse sur le site BoardGameGeek!

Matin morne, journée longue, soirée inutile

C'est la remise des bulletins ce soir. Les parents de nos charmants élèves se présenterons et écouterons sagement nos doléances au sujet de la piètre performance de leurs chèrs petits et nous répéterons qu'ils vont leur parler.

Mais un fait demeure: ce sont des changements en profondeur dont on a besoin. Pas de petits ajouts cosmétiques, des ajustements irréguliers ou encore de belles paroles. L'école ici s'en va nulle part, et malheureusement, ce sont les jeunes qui écopent.

Ceci dit, je vais quand même tenter de trouver un peu de positif en cette journée. Parmi les points positifs? J'ai réussi, je crois, à régler le problème de ce fichu MapSource. Ouf! On va donc pouvoir s'en servir normalement. Pour le reste, on verra.

Enfin, j'ai bien hâte de tirer une petite partie d'un de mes nombreux jeux qui accumulent de la poussière dans le garde-robe du bureau. Non, mais, je ne les ai pas acheté pour les regarder seulement!

Blues printanier

Je n'ai jamais été un grand amateur de hockey. C'est un sport que je n'ai toujours regarder que du coin de l'oeil lorsque rien d'autre ne jouait à la télé. J'ai toujours préféré, et de très loin, le football, sport beaucoup plus tactique et stratégique dont le travail d'équipe est mille fois plus récompensé que les autres.

Ceci dit, le temps des séries ayant fait son apparition au petit écran, je me suis découvert un petit regain d'intérêt pour notre sport national. La flanelle nous a fait la surprise du siècle en battant les Bruins en 7 et promettait les plus belles choses contre le Lightning. Tous les espoirs étaient permis, même de rêver à la coupe.

Dur réveil ce matin.

La flanelle se retrouve 0-3 contre les éclairs et ma foi, les chances sont bien minces de voir l'uniforme rouge passé au prochain tour des séries. Mais «it's not over 'till it's over and the fat lady sings.» On ne perd donc pas espoir.

Ce qui m'amène au vrai sujet de la journée: l'incroyable pouvoir qu'exerce le sport sur notre imagination collective. C'est absolument fascinant de constater à quel point le peuple désir se reconnaître dans les exploits de ces héros des temps modernes. C'est comme si toutes les frustrations de la société s'en trouvait canalisées par procuration au travers de ces jeux. Si notre équipe gagne, c'est la joie, le bonheur, la vie est belle. Si notre équipe perd, c'est la déprime qui s'installe et la journée sera mauvaise.

Pas pour moi, bien sûr!

C'est un départ

Je me lance dans le blogging. Je ne sais pas pourquoi je le fais, ni ce que je vais raconter, mais disons que pour l'instant, c'est un moyen pour moi de pratiquer deux choses que je n'ai pas toujours la volonté de faire: l'écriture et l'écriture.

Comme c'est mon premier blog, je ne m'attends pas à grand choses. Quelques lignes ici et là, peut-être quelques commentaires positifs... je vais laisser le soins aux autres de juger mes talents d'écrivain.

Court, c'est ce qu'un premier texte doit être et c'est ce que je m'engage à faire à mon tour. À plus tard.